En vain je t´ai regretté,
le temps pressé, passionné,
ni l´une ni l´autre -
nous n´avons rien arrêté.
Le silence on garde,
les oiseaux
silencieux descendent.
La distance entre moi
et toi, ma muse à moi,
malgré ca, ta caresse
m´excite, mes levres
ne t´oublient pas.
Sur la Seine,
à la rampe du pont
tes cheveux
embaumés ont flotté.
La nuit sans lumière
personne ne m´embrasse,
je me tais, je me tais.
Tu ne m´as pas écoute
quand je t´ai raconté
je t´aime, je m´en vais.
Sur la Seine,
à la rampe du pont
tes yeux m´ont dit:
adieu, adieu pour la vie.